• Solutions Manager
    • Entreprise
    • RSE
    • Médico-social
  • Solutions Académia
    • Campus
    • Soft Skills
  • À Propos
  • Contact
  • Blog
  • Solutions Manager
    • Entreprise
    • RSE
    • Médico-social
  • Solutions Académia
    • Campus
    • Soft Skills
  • À Propos
  • Contact
  • Blog

Les besoins en cohésion de l’E-management

  • On avril 7, 2015

L’appropriation des réseaux sociaux par les collaborateurs répond-elle à la promesse d’une amélioration du travail collaboratif ?

De façon générale, les collaborateurs attendaient que les RSE favorisent les liens sociaux professionnels en redonnant du sens aux activités communes. Mais l’arrivée des réseaux sociaux dans les organisations a surtout bouleversé les relations hiérarchiques et la circulation de l’information au sein des entreprises. La confusion qui en résulte entraîne beaucoup d’angoisses chez les usagers qui ne savent pas à quelles sources se fier. La conduite des pratiques organisationnelles redevient ainsi une priorité pour les managers qui doivent s’adapter à la culture de la contribution émergente du web.

Les transformations de l’E-manager

Le manager s’est en effet transformé en animateur de communautés qui, sans maîtriser la diffusion de l’information, doit y améliorer les processus de cohésion. S’il est un facilitateur des échanges, il manque parfois de capacité d’action, non pas d’abord à cause de leur surabondance, plutôt du fait de leur manque de structure. Ainsi, ce qui est le plus attendu dans l’E-management, c’est un « empowerment de la relation ».  Le manager doit continuer à déployer et mettre à contribution des compétences métiers spécifiques, tout en s’appuyant sur ce nouveau savoir-être relationnel.

La digitalisation des échanges

Parce que la relation numérique est modélisée à travers le dispositif qui la véhicule, elle demande à être enrichie afin de pouvoir reproduire la complexité des structures préexistantes. Il serait illusoire de considérer que l’on puisse rebâtir toute une organisation sur un socle d’interactions simplistes. C’est pourquoi l’E-management passe par une reconstruction, certes adaptée, mais aussi complexe, des relations dont le management était auparavant théoriquement capable.

Les échanges virtuels n’ont évidemment d’intérêt que dans la mesure où ils sont en perspective d’une contribution réelle. Or, d’un point de vue pratique, les nouvelles technologies de l’information créent de nombreuses poches d’inefficience ; soit parce qu’étant très intégrés, les dispositifs colportent facilement les erreurs ; soit parce que les tâches sont reproduites plusieurs fois, par manque d’organisation (Cf. travaux de Daniel Bonnet et Guy Saint-Léger). Le challenge est alors de récupérer une culture des processus éprouvée par l’expérience pour renforcer l’intégration des échanges.

Vers un nouveau Team Bulding numérique

Concernant le Team Building, il s’agit aussi de pouvoir donner du sens aux relations, dans un modèle de proximité relationnelle, et quant au contenu des relations elles-mêmes. Créer du contenu pour les relations suppose des canaux de communication augmentés et surtout une sémantique des relations qui puisse les formaliser avec la profondeur suffisante. Cette profondeur doit toutefois être accessible, sans quoi les relations ne pourront jamais s’y déployer avec autant d’aisance, et donc ne mèneront à aucune efficacité. Une alliance de profondeur et de simplicité est la condition sine qua non d’un réseau social à même de donner lieu à un E-management innovant et enraciné sur des bases solides déjà attestées.

 
  • L’appropriation des réseaux sociaux par les collaborateurs répond-elle à la promesse d’une amélioration du travail collaboratif ?

    De façon générale, les collaborateurs attendaient que les RSE favorisent les liens sociaux professionnels en redonnant du sens aux activités communes. Mais l’arrivée des réseaux sociaux dans les organisations a surtout bouleversé les relations hiérarchiques et la circulation de l’information au sein des entreprises. La confusion qui en résulte entraîne beaucoup d’angoisses chez les usagers qui ne savent pas à quelles sources se fier. La conduite des pratiques organisationnelles redevient ainsi une priorité pour les managers qui doivent s’adapter à la culture de la contribution émergente du web.

    Les transformations de l'E-manager

    Le manager s’est en effet transformé en animateur de communautés qui, sans maîtriser la diffusion de l’information, doit y améliorer les processus de cohésion. S’il est un facilitateur des échanges, il manque parfois de capacité d’action, non pas d’abord à cause de leur surabondance, plutôt du fait de leur manque de structure. Ainsi, ce qui est le plus attendu dans l’E-management, c’est un « empowerment de la relation ».  Le manager doit continuer à déployer et mettre à contribution des compétences métiers spécifiques, tout en s’appuyant sur ce nouveau savoir-être relationnel.

    La digitalisation des échanges

    Parce que la relation numérique est modélisée à travers le dispositif qui la véhicule, elle demande à être enrichie afin de pouvoir reproduire la complexité des structures préexistantes. Il serait illusoire de considérer que l’on puisse rebâtir toute une organisation sur un socle d’interactions simplistes. C'est pourquoi l’E-management passe par une reconstruction, certes adaptée, mais aussi complexe, des relations dont le management était auparavant théoriquement capable.

    Les échanges virtuels n'ont évidemment d'intérêt que dans la mesure où ils sont en perspective d'une contribution réelle. Or, d’un point de vue pratique, les nouvelles technologies de l’information créent de nombreuses poches d’inefficience ; soit parce qu’étant très intégrés, les dispositifs colportent facilement les erreurs ; soit parce que les tâches sont reproduites plusieurs fois, par manque d’organisation (Cf. travaux de Daniel Bonnet et Guy Saint-Léger). Le challenge est alors de récupérer une culture des processus éprouvée par l’expérience pour renforcer l’intégration des échanges.

    Vers un nouveau Team Bulding numérique

    Concernant le Team Building, il s’agit aussi de pouvoir donner du sens aux relations, dans un modèle de proximité relationnelle, et quant au contenu des relations elles-mêmes. Créer du contenu pour les relations suppose des canaux de communication augmentés et surtout une sémantique des relations qui puisse les formaliser avec la profondeur suffisante. Cette profondeur doit toutefois être accessible, sans quoi les relations ne pourront jamais s’y déployer avec autant d’aisance, et donc ne mèneront à aucune efficacité. Une alliance de profondeur et de simplicité est la condition sine qua non d’un réseau social à même de donner lieu à un E-management innovant et enraciné sur des bases solides déjà attestées.

    " target="_blank">

0 Comments

Articles récents
  • Solution Acrétion Soft Skills pour la Formation Humaine
  • L’intérêt des valeurs pour la culture d’entreprise ?
  • Génération Y et Z : Convergences et Divergences
  • Acrétion Soft Skills : Un outil de développement de compétences innovant
  • Pour un Teambuilding numérique #3
Archives
  • novembre 2015
  • octobre 2015
  • septembre 2015
  • juillet 2015
  • juin 2015
  • mai 2015
  • avril 2015
  • mars 2015
  • février 2015
  • janvier 2015

Enseignement supérieur, quels sont les nouveaux enjeux ?

Previous thumb

Vers un enseignement supérieur 2.0 ?

Next thumb
Scroll

Logo Acrétion Blanc

Adresse : 921 rue de la Croix de Lavit
34090 Montpellier
Email : contact@acretion.fr
Tél. : 04 67 75 10 27
  • Bonjour à tous, nous vous encourageons à rejoindre #acretion sur Instagram ! https://t.co/8O3BtpNkWAavril 17, 2019 - 9:59
Articles récents
  • Solution Acrétion Soft Skills pour la Formation Humaine
  • L’intérêt des valeurs pour la culture d’entreprise ?
  • Génération Y et Z : Convergences et Divergences
@2016 - Acrétion, Improve by values - Tous droits réservés.
  • Accueil
  • Solutions Manager
  • Solutions Académia
  • À Propos
  • Contact
  • Blog
  • Mentions Légales