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Pour un Teambuilding numérique #1

  • On mai 13, 2015

Quelle est l’ampleur de la révolution sociologique des manières de concevoir le travail en entreprise ?

Fréquemment, les organisations doivent allier deux tendances qui se trouvent souvent en tension :

  • Une coordination bien structurée pour fédérer des compétences plus éclatées,
  • Un besoin de repères plus souples afin d’être davantage agiles.

A mesure que la technologie apporte une meilleure intégration des activités, les études montrent que cela provoque paradoxalement une diminution du sentiment de responsabilité individuelle. Lorsque les collaborateurs savent effectivement que d’autres collaborateurs vont participer avec eux, ils attendent de fait qu’ils le fassent et accordent alors moins d’attention aux tâches qu’ils font. Les contributions individuelles n’ont plus le même sens et il importe de les revaloriser pour donner à chaque collaborateur toute sa place, et s’assurer surtout que les produits sortent en temps voulu…

Mieux contribuer pour être plus impliqués

Sur le plan plus personnel, les attentes ont elles aussi évolué vers un besoin croissant de reconnaissance. Ce phénomène s’accentue désormais car, si la génération Y mettait déjà plus d’affects dans les rapports de subordination, les jeunes collaborateurs de la génération Z demandent plus encore à être intéressés aux enjeux pour se sentir mieux impliqués : ils veulent savoir à quoi ils contribuent grâce à leur travail !

Or, la recherche des meilleurs talents, souvent d’ailleurs les plus exigeants, pousse de plus en plus de DRH à composer avec ce type de « revendications ». D’autant que ce nouveau phénomène représente une vraie opportunité pour créer une meilleure qualité de vie au travail et mettre plus de souplesse dans les rapports professionnels. Cela impose néanmoins de circonscrire les mélanges de comportements professionnels et privés parfois incongrus.

Plusieurs questions se posent alors :

Quels moyens employer pour s’adapter à ces évolutions ? Comment créer des connections entre les personnes qui font sens ? Faut-il enrichir les modes relationnels afin de confirmer chacun dans son rôle pour l’insérer en même temps dans la perspective du projet commun de l’organisation ?
 
  • Fréquemment, les organisations doivent allier deux tendances qui se trouvent souvent en tension :
    • Une coordination bien structurée pour fédérer des compétences plus éclatées,
    • Un besoin de repères plus souples afin d’être davantage agiles.
    A mesure que la technologie apporte une meilleure intégration des activités, les études montrent que cela provoque paradoxalement une diminution du sentiment de responsabilité individuelle. Lorsque les collaborateurs savent effectivement que d’autres collaborateurs vont participer avec eux, ils attendent de fait qu’ils le fassent et accordent alors moins d’attention aux tâches qu’ils font. Les contributions individuelles n’ont plus le même sens et il importe de les revaloriser pour donner à chaque collaborateur toute sa place, et s’assurer surtout que les produits sortent en temps voulu… Mieux contribuer pour être plus impliqués Sur le plan plus personnel, les attentes ont elles aussi évolué vers un besoin croissant de reconnaissance. Ce phénomène s’accentue désormais car, si la génération Y mettait déjà plus d’affects dans les rapports de subordination, les jeunes collaborateurs de la génération Z demandent plus encore à être intéressés aux enjeux pour se sentir mieux impliqués : ils veulent savoir à quoi ils contribuent grâce à leur travail ! Or, la recherche des meilleurs talents, souvent d’ailleurs les plus exigeants, pousse de plus en plus de DRH à composer avec ce type de « revendications ». D’autant que ce nouveau phénomène représente une vraie opportunité pour créer une meilleure qualité de vie au travail et mettre plus de souplesse dans les rapports professionnels. Cela impose néanmoins de circonscrire les mélanges de comportements professionnels et privés parfois incongrus. Plusieurs questions se posent alors : [blockquote background="#f9f9f9"]Quels moyens employer pour s’adapter à ces évolutions ? Comment créer des connections entre les personnes qui font sens ? Faut-il enrichir les modes relationnels afin de confirmer chacun dans son rôle pour l’insérer en même temps dans la perspective du projet commun de l’organisation ?[/blockquote]" target="_blank">

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